Bien sûr, rien de grand ne peut advenir au travail sans passion, mais si la condition d’aimer ce que l’on fait est nécessaire, elle n’est pas suffisante. La passion au présent s’apparente au perfectionnisme et l’attention au moindre détail tient éloigné de la performance que nous recherchons tous. L’amour du travail bien fait rend inévitable la dispersion et le passionné est tellement en plaisir dans l’action qu’il s’arrange consciemment ou pas pour prolonger son plaisir jusqu’à en perdre de vue le résultat attendu de son action.
Il lui faudra associer une ambition du futur à la hauteur de sa passion au présent pour gagner en efficience. La performance s’obtient par la réconciliation de qualités contradictoires. Pour progresser en management, il suffit d’être toujours plus fort sur son point de force – ici la passion- et de complémenter sur le point supposé de manque – l’ambition – parce-que l’individu est dichotomique et est rarement d’une qualité et de la qualité contraire en même temps.
Le leadership de demain sera réconciliateur et paradoxal quand le management d’aujourd’hui est schizophrène et impose le dilemme.
Bien sûr, rien de grand ne peut advenir au travail sans passion, mais si la condition d’aimer ce que l’on fait est nécessaire, elle n’est pas suffisante. La passion au présent s’apparente au perfectionnisme et l’attention au moindre détail tient éloigné de la performance que nous recherchons tous. L’amour du travail bien fait rend inévitable la dispersion et le passionné est tellement en plaisir dans l’action qu’il s’arrange consciemment ou pas pour prolonger son plaisir jusqu’à en perdre de vue le résultat attendu de son action.
Il lui faudra associer une ambition du futur à la hauteur de sa passion au présent pour gagner en efficience. La performance s’obtient par la réconciliation de qualités contradictoires. Pour progresser en management, il suffit d’être toujours plus fort sur son point de force – ici la passion- et de complémenter sur le point supposé de manque – l’ambition – parce-que l’individu est dichotomique et est rarement d’une qualité et de la qualité contraire en même temps.
Le leadership de demain sera réconciliateur et paradoxal quand le management d’aujourd’hui est schizophrène et impose le dilemme.